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29 juin 2008 7 29 /06 /juin /2008 20:31
Pour tous ceux qui n’ont pas du saisir ou comprendre les documents

produits et dans ce cas précis mon jugement suppletif (dont l’identite des

membres du Tribunal de Toumodi a ete declinee).


Ce jugement suppletif est l’acte par lequel mon Pere Feu

Monsieur F.H.B, alors Ministre d’Etat, me reconnait legalement au

lendemain de l’Independence (fait déjà cite dans mon blog).



Prenez connaissance de l’Acte de Notoriete de l’integralite de la

Grosse du jugement rendu (Juillet 2000) par le Tribunal de Toumodi.


Constatez de par vous meme le certificat de “non opposition ni

contestation” déjà cite au debut de mon propos.


Le terme “adoptee” si souvent mentione “dans vos dires” fut

certainement une faveur faite par feu mon Pere a Madame Therese

Houphouet-boigny, son epouse legitime. D’autres raisons peut etre ?...



Interrogez ceux qui savent. Et posez vous les vrai questions.


Renseignez vous aussi: une plainte avait ete deposee pres du Tribunal

de Toumodi, son President etant Monsieur Dicoh Adama, ayant, au prealable,

saisi par courrier le President de la cours supreme de Cote d’Ivoire, pour

“faux document etablis”, quelques annees après la mort de mon Pere,

concernant mon identite (acte de naissance…)
. Qu’il soit porte

a votre connaissance qu’aucune suite, a ce jours, n’a ete donne a ma

requete.


                            
        
                                                 Helene Houphouet-Boigny Abla Pokou.
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13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 19:02

Il y’a une grande différence entre « Interpeller un État » (pour que justice vous soit

rendue) à travers les temps passés (14 années), et Intenter une action en justice à

son Encontre.


Pouvez-vous citer le tribunal saisi et par quel Avocat me représentant dans ce cas

précis (vente mobiliers et objets d‘art, collection privée de feu mon Père, Mr le

Président Félix Houphouët-Boigny, sis à sa résidence

privée rue Masseran Paris 7 ème) ?


Je n’ai appris la date et le lieu de cette vente à venir (29 Juin 2008) que par un

article du « Figaro » en date du 21 Mai 2008_ page 31. A noter que les plus grandes

Maisons connues pour ces ventes exceptionnelles,

Christie’s et Sotheby’s, qui avaient déjà vendu certains mobiliers, objets d‘art et

tableaux de Maitres appartenant à feu Mr le Président Houphouët-Boigny, (action

initiée de son vivant ), ont préféré ne pas être impliquées dans cette opération.


L’État Ivoirien
  n’a à ce jour produit ni titre de propriété, ni titre de cession à son

endroit, ni preuves d’achat pris sur les Deniers de l’État par feu mon Père.

Informations impossibles à obtenir quelques soient mes démarches personnelles ainsi que

celles de mes avocats d’alors.


A noter que l’État Ivoirien reste curieusement muet à travers les temps quant à

l’application de « la grosse » du jugement rendu (Juillet 2000)_ action en justice

initiée par les aînés. Ils ont été déboutés, mais auparavant ils avaient fait établir dès

Juin 1999 des documents par lesquels ils s’auto proclamaient seuls héritiers.

Documents scannés en intégralités sur mon blog.


Bravo,
qui que vous soyez (singulier ou pluriel), car vos remarques (dénigrements et

insultes en majorité) incitent des personnes ayant une pensée amenant a d’autres

interrogations et approches, à prendre connaissance de tout le contenu de mon blog

(documents juridiques, lettre de notaires, institutions bancaires et Lettre Ouverte à

Mr le Président Laurent Gbagbo…, produits ou scannés…).


Ces personnes pourront aussi constater que j’ai rendu, entre autre, Hommage aux

Anciens Compagnons de luttes et Grandes Dames qui ont aidé Houphouet à

construire ce pays, ainsi que mes remerciement à tout le Peuple Ivoirien qui l'a

porté durant tout le temps de sa Charge.

 

Madame Hélène Houphouët-Boigny Abla Pokou.

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6 février 2008 3 06 /02 /février /2008 19:45

 

 

Ces deux documents :

 

-  Courrier de Mr. Philippe Rideau en date du 2 Septembre 1999 à l’attention de

 

   Mr. Vladimir Papakonstantinou ( Service Juridique Private Banking   U.B.S. 

 

   S.A  Genève ) ; 

 

-  « Dépôt De Pièces Procuration Pour Régler Succession Par Les Consorts

 

   Houphouet Boigny Au Profit De Monsieur Philippe Maurice Frederic

 

   Rideau »

 

   en date du 15 Juin 1999 émanant de l’étude de Me Yéboué – Kouamé

 

   K. Venance ( Notaire à Abidjan ) ;

 

ont été produits par l’U.B.S.  S.A  ( Union des Banques Suisses –

 

Services juridique – place Cornavin 12 Genève ), le 07 Décembre 2007.

 

Comment l’U.B.S.  a-t-elle pu prendre tous ce temps pour me les

 

communiquer ???

 

 

Ils ont tous deux été scannés en intégralité et sont consultables aux adresses

 

Internet suivantes :

 

- Courrier de Mr Philippe Rideau en date du 2 Septembre 1999

 

   www.imagebam.com/gallery/9c4e422b17c6c95b774596faed2da652/

 

-  Dépôt de Pièces Procuration en date du 15 Juin 1999

                                                   

  www.imagebam.com/gallery/2fb2d2822c9f9b0d3320b1c1778660bd

 

 

 

            Par ces deux documents, Messieurs

 

Guillaume Houphouet Boigny ;

 

François Houphouet Boigny ;

 

Augustin Houphouet boigny ;

 

et Madame Marie de Messe Zinsou ;

 

donnent, avec l’aval de l’Etat Ivoirien ( Maitre Yeboue-Kouame

K. Venance – Notaire de l’Etat Ivoirien à la date de son expédition – Cote

 

d’Ivoire –  4/6 Avenue Crosson Duplessis lot 50 07 B.P. 6372 Abidjan 01  ), tous

 

pouvoir pour le règlement de la Succession de feu Monsieur le Président Félix

 

Houphouet Boigny, à Monsieur Philippe Maurice Fréderic Rideau ( demeurant 5

 

rue Cesar Franck 75015 Paris ). A noter que la légalisation des signatures à été

 

effectuée par Maître Jacques-Louis Ribordy, Notaire de résidence à Martigny –

 

Canton du Valais – Suisse.

 

 

 

A savoir et en Rappel, qu’un Jugement à été rendu le 27 juillet 2000

 

( Jugement Civil N°118 du 27/07/2000 - rôle

 
Général N
° 14/96 Ministère de la Justice | Cour d'appel de Bouaké | Tribunal de


Bouaké |
Tribunal de Première Instance de Bouaké - Section de Toumodi

 
| Audience Civil du Jeudi 27 Juillet
2000 ).

 

Une Action initiée en 1995 en France par Messieurs :

 

Augustin Houphouet Boigny ;

 

François Houphouet Boigny ;

 

Guillaume Houphouet Boigny ;

 

et Madame Marie H.B. de Messe Zinsou ;

 

puis transférées en 1996 en Cote d’Ivoire près de la Juridiction compétente, avec

 

ajout de Feu Mme Cady Racine Sow, mère des ci-dessus cités.

 

Ils ont été déboutés en leurs prétentions d’être les seuls héritiers de feu Monsieur le

 

Président Félix Houphouet boigny.

 

 

 

 

                    Et que penser de la Sommation Interpellative en date du 30 Juin 2000, effectué à

 

l’encontre de l’agence A.I.C.I  S.A.  par Maître Agnès Ouangui ( Avocate près la Cour

 

d’Appel d’Abidjan ), à la demande de la Mandante Mme Hélène Houphouet Boigny

 

et de l’interview de Madame Dominique Folloroux Ouattara ( Jeune afrique /

 

L intelligent n° 2049 du 18 au 24 avril 2000 “ On en parle - Dominique Ouattara

 

Femme d’affaires distinguée.”

 

Ces deux documents sont consultables aux adresses suivantes :

 

- Sommation Interpellative. en date du 30 Juin 2000

 

 www.imagebam.com/gallery/190dbf85326145794a1c055d1972b0f1/

 

 
- Article Jeune Afrique/ l’Intelligent n° 2049 du 18 au 24 avril 2000

 

 
 www.imagebam.com/gallery/4157785f94661fab53bc63e8f4a1de69/

 

  

 

 

 

 

 

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26 octobre 2007 5 26 /10 /octobre /2007 19:32

LETTRE OUVERTE à Monsieur Laurent GBAGBO,

Président de la République de Côte d’Ivoire

 

 

 

Monsieur le Président,

 

Je me permets d’interpeller à nouveau  l’Etat Ivoirien à travers vous.

 

Mes courriers envoyés dès 1994 sont restés sans réponse. Ils concernaient la succession de feu mon Père, Monsieur le Président Félix Houphouët-Boigny, toujours (à ce jour) non réglée, malgré le jugement civil rendu, N° 118 du 27/07/2000 – Rôle général N° 14/96 – Ministère de la Justice / Cour d’Appel de Bouaké.

« Nous, peuple de la Côte d’Ivoire [...], Tribunal de Première Instance de Bouaké, - Section de Toumodi /Audience Civile du 27 Juillet 2000.

 

Une succession « privée » devenue « d’Etat  » … d’un Grand Monsieur, qui a été aimé ou décrié mais qui a toujours œuvré pour le bien du peuple Ivoirien et assumé ses positions tant sur le plan National qu’International.

 

Il se basait sur l’esprit du dialogue et sur celui de la tolérance, ainsi que sur le respect des différents peuples ayant leurs histoires propres.

 

Vous êtes, je pense à savoir que le quotidien « Le Patriote » a produit ( non pas en intégralité ), le contenu de mon blog … largement étayé par des textes juridiques, différents courriers de Notaires, articles …. Votre revue de presse, comme il se doit, vous a certainement  informé de certaines de leur teneur, comme il est coutume de le faire.

 

Par conséquent, je ne reprendrai ici que l’article (Interview de Monsieur le Président Gueï paru dans JA/ l’Intelligent N° 2075 en date du 23 Octobre 2000 :

- Côte d’Ivoire : « - Gueï veut sauver la résidence parisienne d’Houphouët - »

« L’Hôtel Masseran appartient aux héritiers d’Houphouët, mais l’Etat Ivoirien a jusqu’à présent gardé un droit d’usage …. »

 

Je suis, de par mes droits légitimes,  reconnue légalement par mon père (Acte posé le 26 Août 1960), alors Ministre d’Etat ( Requête publique près du Tribunal de Toumodi, jugement N° 1261, témoins, composition du Tribunal de l’époque, déjà cités sur mon blog )
Vous constaterez, Monsieur le Président que j'ai été totalement spoliée de tous mes droits.

 

Je suis par conséquent, à même de demander à l’Etat Ivoirien de réagir quant à l’application du jugement du 27 juillet 2000 et de bien vouloir prendre en considération qu’en l'absence de « Testament », (ce qui est impensable pour toute personne de quelques biens notoirement connus dès avant l’indépendance), seuls les noms et qualités des véritables héritiers sont retenus par le jugement rendu.  

 

Je demande donc :

 

-          Un dédommagement concernant l’Hôtel particulier Masseran  sis à Paris VIIème – En terme « locatif » d’un bien privé de Monsieur Félix Houphouët-Boigny

 

-          Le droit de choisir quelques éléments parmi sa collection privée (Prisée effectuée en 1994 par Me Martine Watine - Arnault à la demande de Me Paul Chardon  … comme citée dans mon blog). Tableaux de Maîtres et Mobiliers signés …argenterie à son chiffre…

 

Connaissant mon Père, il avait du penser à toute sa famille … Il aurait souhaité, espéré plus de dignité, d’intégrité concernant sa succession par respect  pour son nom, « Houphouët ».

 

Dans l’espoir que cette lettre ouverte retiendra votre attention, je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma haute considération.

 

 

 

 

 

Madame Hélène Houphouët-Boigny

 

 

 

 

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9 juillet 2007 1 09 /07 /juillet /2007 16:10

                      
DOCUMENTS CITES :

    
- Acte de Notoriété ( Rép. : N° non mentionné – Taxe : N° 75326 )

      établi, en date du 29/06/1994 par Me Cheikna Sylla, un des principal

      Notaires Ivoiriens en charge de la dite succession, précisant noms et

      qualités des héritiers de feu Monsieur Félix Houphouet Boigny à savoir :

          -Augustin houphouet Boigny  ;

          -François Houphouet Boigny  ;

          -Guillaume Houphouet Boigny ;

          -Marie Houphouet Boigny – Épouse Demesse Zinsou ;

               ( Issus d'un premier mariage coutumier, non légalisé selon la Loi

               en vigueur d'avant l'indépendance ).

      
           -Hélène Houphouet Boigny ;

           -Florence Odette Yamousso Houphouet Boigny ;

          
           -Olivier Antoine houphouet Boigny ;

               ( adopté par Monsieur et Madame Félix Houphouet Boigny – aux

               termes d'un Jugement rendu par le Tribunal de Première Instance

               d'Abidjan le 12 Mars 1981 – Jugement civil N°1020 ).    

    
- Jugement Civil N°118 du 27/07/2000 - rôle Général N° 14/96

     Ministère de la Justice | Cour d'appel de Bouaké | Tribunal de

     Bouaké  

     « Nous Peuple de Côte d' Ivoire [...] » Tribunal de Première Instance

     de Bouaké - Section de Toumodi | Audience Civil du Jeudi 27 Juillet

     2000. ( pages 14 et 15 citées ci après ).

- Certificat de non Appel ni Opposition :


      République de Côte d' Ivoire | Union – Discipline – Travail

      Tribunal de Bouaké | Section de Toumodi | acte N°28 du 25/02/2002
   

- Jugement N°1261 supplétif d'acte de naissance concernant Hélène

       Houphouet Boigny. ( « née à Yamoussoukro le 10 Octobre 1955 » ).

       Demandeur : Houphouet Boigny – Ministre d' État. Comparaissant

       en personne, avec pour témoins ses deux Soeurs aînées

       Mesdames Faitai et Adjoua Houphouet Boigny ainsi que son

       cousin Monsieur Yao Simon.


       TRIBUNAL DU 1er DEGRE DE TOUMODI – COMPOSITION :

       Président AKA Alphonse – 1er Assesseur AKANGA Kouamé –

       2è Assesseur KOFFI Yao – Secrétaire DIEKET Yao Jean.

       Tribunal du 1er Degré de Toumodi – Audience publique du ''26

       Aout 1960'' – Matière Civile – et non pas comme date mentionnée

       ( 20.4.1965 ) dans le rendu du Jugement Civil N°118 du 27/07/2000

       rôle Général N° 14/96, ci dessus cité.


- Article du Fraternité Matin parution des Samedi 5 et Dimanche 6

    Juin 1993 :


    « SEMINAIRE DE REFELXION À SAKASSOU » ... « Une région malade de

    ses cadres » ... « Une Femme Sur Le Trône ? »

- Courrier de Monsieur Philippe Rideau à Me Verges ( mon avocat d'alors )

       daté du 14/03/2000 ( liste de biens restreints concernant un

       « fameux legs verbal » effectué au profit de l'État Ivoirien –

       Peu d' éléments immobiliers concernés – A être exclus, parmi

       d'autres biens : l'hôtel particulier ( Résidence privée ) sis rue Masseran –

       Paris 7émme.

- Courrier en date du 25 Septembre 2004 de Madame Hélène Houphouet

     Boigny adressé à Maître Agueh Tahou Monique –  « Objet: succession de

     feu Mr Félix Houphouet Boigny » .
    
- Courrier adressé à Monsieur Serge Fradkoff - 18, rue du Marché 1204

   Genève, en date du 29 Mars 2007 ( Sa réponse à mon courrier en date du

   16 Mars 2007 ). Ancien administrateur des biens de Monsieur Félix

   Houphouet Boigny - Titres de propriété des sociétés PICALPOC ET

   GRAND AIR S.A  ( GENEVE ) 
tranférés à Monsieur Yves Piaget au début

   des années 1980. Monsieur Serge Fradkoff était "le légataire

   testamentaire"
de mes parrains Monsieur et Madame Jacques Timey.

   ( Monsieur Jacques Timey - Ancien Directeur Manager de la Maison "Harry

   Winston" sise à Genève - rue du Rhone - Maison Mère : sise à New-York -

   Maison créée par le grand Diamantaire et Joiallier : Monsieur Harry

   Winston ). Monsieur Ronald Winston est le successeur de feu son Père.

        


        EXTRAIT ( PAGES 14 ET 15 ) DU JUGEMENT Civil N°118 du

   27/07/2000 - rôle Général N° 14/96 :


[ ... ] «  PAR CES MOTIFS

        Statuant publiquement, contradictoirement, en matière civile et en

premier ressort ;

        Déclare les demandeurs recevables en leur actions en liquidation et en

partage de la succession de FEU FELIX HOUPHOUET BOIGNY ;

        Les déclare irrecevables en leur tierce opposition contre le jugement

supplétif d'acte de naissance n°1 du 20.4.1965

         Déclare veuve CADY RACINE SOW, mal fondée en sa demande de

liquidation et de partage de communauté de biens ;

        Déclare nul  de nullité absolue l'acte de notoriété du 29 Juin 1994 ;

        Ordonne l'établissement d'un acte d'hérédité déterminant les noms et

qualités des héritiers de FEU FELIX HOUPHOUET BOIGNY ;

        Ordonne d'inscrire comme héritiers :

1.  AUGUSTIN HOUPHOUET BOIGNY ;

2.  FRANÇOIS HOUPHOUET BOIGNY ;

3.  GUILLAUME HOUPHOUET BOIGNY ;

4.  MARIE N'DRI KAN HOUPHOUET BOIGNY ;

5.  HELENE HOUPHOUET BOIGNY ;

6.  OLIVIER ANTOINE HOUPHOUET BOIGNY ;

         Désigne Maître AGUEH TAHOU Monique notaire à Abidjan, à l'effet de

faire établir l'acte d'hérédité susdit, de procéder à la liquidation et au partage

de la succession de FEU FELIX HOUPHOUET BOIGNY ;

        Dit qu'elle dispose d'un délai de 06 mois à compter de sa saisine pour

accomplir sa mission ;

        Dit qu'elle se référera au Président de la section du Tribunal de Toumodi

en cas de difficultés ou de contestations sérieuses ;

        Met les frais de la procédure à la charge de la succession ;

        ainsi fait, jugé et prononcé, les, mois et an que dessus ;

        Et ont signé, le Président et le Greffier en CHEF.

                                          SUIVENT LES SIGNATURES

                                              D.F = 18 000 FRANCS

                                              ENREGISTRE A BOUAKE
 
                                              LE 24 AOUT 2000

                                              REGISTRE A.J VOL 5 F° 53

                                              N° 849 BORDEREAU 1415/01

                                              RECU DIX HUIT MILLE FRANCS

                                              L'INSPECTEUR ;

                                                      .../...

EN CONSEQUENCE : Le Président de la République de Côte d' Ivoire ;

mande et ordonne à tous huissiers de justice à ce requis de pouvoir à

l'exécution du présent jugement  ;================================

                                     Aux Procureurs Généraux et aux Procureurs de la

République près les cours d'appel et les tribunaux de premières Instance d'y

tenir la main ;===============================================

                                     A tous Commandants et Officiers de la force publique

de prêter main forte lorsqu'ils en seront légalement requis ;=============

                                     En foi de quoi, la présente première grosse,

collationnée et certifiée conforme à la minute à été signée, scellée et délivré

par nous, Greffier en chef de la section de Tribunal de Toumodi, le quatorze

Novembre deux mil à Maître AGNES OUANGUI pour le compte de Dame

HÉLÈNE HOUPHOUET BOIGNY , sur sa réquisition ./.

                                                      TOUMODI, LE 14 NOVEMBRE 2000

                                                               LE GREFFIER EN CHEF

                                                                    ( SIGNATURE )

                                                             BAKAYOKO MAMADOU     »


    
    Il est cependant à noter que l'acte rectificatif susdit a été établi

par Me Agueh Tahou Monique qu'en date du 28/12/2004
( Acte de

notoriété déterminant la qualité des héritiers de son excellence Félix

Houphouet Boigny – Rép N° 377 – Taxe N° « non mentionné » ). Selon le

Jugement  Civil N°118 du 27/07/2000 lui donnant mandat



    Une succession privée devenue dès son ouverture ( 29 Juin 1994 ),

« une succession d'État » ...


      

       

    Résumé succint pouvant permettre une meilleur compréhension

des  faits.


    En ces temps où la Côte d' Ivoire vit des moments difficiles, douloureux

et qui perdurent. Une situation inacceptable pour un pays ayant vécu tant

d'années de paix accompagnées d'un essor économique certain, la

succession du Président Houphouet Boigny, décédé le 7 Décembre 1993,

reste d'actualité, tant les irrégularités ( faux et usage de faux ) commises en

Côte d' Ivoire, en France, en Suisse, au Sénégal, au Maroc, En Grande

Bretagne, États Unis N.Y, ..., la rende comparable à ce qui peut être qualifié

comme un « grand vol organisé » ...

    Tout d'abord est il pensable qu'un Ancien Député, plusieurs fois Ministre

d'État sous la 4ème et début de la 5ème République, ainsi que Ministre de la

Santé Publique et de la Population du gouvernement Félix Gaillard, Président

de Côte d' Ivoire de l'année  de l'indépendance au 7 Décembre 1993, n'ait pu

laisser de « TESTAMENT » ?

    Comment un Homme Politique respecté tant en Côte d' Ivoire que dans le

monde, et dont la fortune était notoire, n'ait « pu » laisser de

« TESTAMENT », comme l'on prétendu, entre autres personnes à recevoir

ses dernières volontés : ses Notaires Me. Jean-Michel Normand ( France ),

Me. Cheikna Sylla et Me. Denise Richmond ( Côte d' Ivoire ) ... ,  les

administrateurs de ses biens... ?

    Comment comprendre que la liste des biens exhaustives ( avoirs

bancaires, sociétés... quelques soient les pays concernés ),  

n'ait pu être produite ( charge aux premiers Notaires de la succession ) et

portée à la connaissance de tous les héritiers concernés... Une rétention

d'informations parmi tant d'autres – inacceptable.


    Quels documents « authentiques » ont produits principalement Guillaume

et Marie Houphouet Boigny – épouse Demesse - Zinsou ( issus d'un premier

mariage coutumier non légalisé, tout comme Augustin et François Houphouet

Boigny ), pour avoir eu accès à certaines institutions bancaires et biens

immobiliers
( en Côte d' Ivoire, France, Suisse ... ), alors qu'ils avaient initié

en 1995 en France, près du Tribunal concerné, une action en Justice pour se

prévaloir seuls héritiers... Ce cas fut renvoyé, en 1996, près de la

Juridiction Ivoirienne concernée ( Tribunal de Bouaké – Section Toumodi ),

Mme Feue Cady Racine Sow, leur Mère, étant partie prenante ?

    ils ont été déboutés le 27 Juillet 2000  ( Rendu du Jugement Civil

N°118 ci dessus mentionné ). Ce Jugement est basé sur l'acte de notoriété

établi le 29 Juin 1994 ( Étude de Me Cheikna Sylla ).


    A prendre en considération qu'un « Certificat de non Appel ni

Opposition » a été établi en date du 15/02/2002. Voir liste documents

produits.

    A savoir, que ce rendu du Jugement concernant la succession de

Feu Monsieur le Président Félix Houphouet Boigny non appliqué à ce

jour, commence par ces termes :

« Nous Peuple de Côte d' Ivoire [ ... ] »


    Comment expliquer que soit transféré à Marie H.B. Demesse Zinsou , sur

simples témoignages de
M. Yves Piaget, Joaillier Suisse et ancien Consul

honoraire de Côte d' Ivoire à Genève, et de M. Alain Belkiri, ancien préfet

en France et ancien conseiller du Président Houphouet Boigny, la grande

propriété Genevoise, sise à Cologny ( la Capite ) ?

    Comment expliquer ce fameux « Legs Verbal » au bénéfice de

« l'État Ivoirien » : non accompagné d'un écrit et d'une « signature »

authentifiée de Monsieur Houphouet Boigny, comme le précise la Loi.

    Une quotité, toujours selon la Loi, à respecter car « limitant les

biens pouvant être pris par l'État Ivoirien » ? Charge à l'État Ivoirien de

faire preuve des biens acquis, par Monsieur Houphouet Boigny, sur les

deniers de l'État.


    Comment, donc, expliquer le fait que l'hôtel particulier sis rue Masseran

( Paris 7ème ), Résidence Privée de Monsieur Félix Houphouet Boigny

soit, dès 1994, devenu la propriété de l'État Ivoirien ?
  Courrier de

 Monsieur Philippe Rideau à Me Vergès en datée du 14/03/2000. Faisant état

des biens immobiliers concernés par ce « Legs Verbal » :


« Re. : HOUPHOUET-BOIGNY

Mon cher Maître,

Je vous confirme, bien volontiers, que la désignation du bien immobilier sous

« l'article deuxième », pages 6 et 7, de l'acte de délivrance de legs rayé par

votre cliente, ne correspond en aucune manière à l'hôtel Masseran lui-même

situé entre la Rue Masseran et le boulevard des Invalides.

On doit reconnaître que la désignation des biens, tels que mentionnés sous

cette rubrique, est assez complexe et inhabituelle.

En fait, la désignation indiquée porte exclusivement sur les biens, ci-après

précisés, à savoir :

- un appartement de trois pièces (lot 415)

- une cave au premier sous-sol (lot480)

- un emplacement de véhicule (lot 1913)

- un studio (5063).
 
Vous pourrez observer sur le plan annexé la localisation en bleu du groupe

d'immeubles, où sont situés les biens ci-dessus, par rapport à la localisation

de l'hôtel Masseran, indiqué en rouge sur le plan.

Cette désignation procède probablement des mentions portées lors de

l'acquisition du terrain mentionné sous cette rubrique par la société civile

immobilière de construction, qui a bâti l'ensemble immobilier et reprise

probablement par les notaires dans les origines d'acte de propriété, lorsqu'il

y a eu la division des bien vendus, dont ceux mentionnés plus haut

Par ailleurs, pour rassurer votre cliente, vous observer que l'acte

d'acceptation et de délivrance de legs mentionne une estimation globale de

F. 25.000.000 pour l'ensemble du legs, portant sur les actifs immobiliers

mentionnés dans l'acte.Il va de soi que si l'hôtel Masseran était inclus dans

cette désignation, cette estimation serait absurde et irréaliste, donc

parfaitement contestable lors de l'enregistrement des actes.

Je vous précise enfin, que pour des raisons de similitudes, tous les actes

signés par l'ensemble des ayants-droit doivent être identiques dans leur

formulation et qu'il est, dans ces conditions, impossible de modifier quoique

ce soit.

Aussi, je me permets de vous remettre ci-joint les pages 6 & 7 de l'acte

soumis à la signature de votre cliente et qui, à travers les explication

techniques que je vous donne, devrait pouvoir être régularisé en l'état.

Je vous prie d'agréer, mon chère Maître, l'expression des mes salutations

distinguées.

                                                         Signature ( bas de page 2, dernière page )
                                                                          
                                                         Paraphe ( bas de page 1 ).  »



Très peu de biens, somme toute, comparé à tout ce dont s'est saisi l'État

Ivoirien  dès 1994.

Concernant ce même hôtel particulier, il est à signaler qu'une prisée

( 11 Juillet 1994 ) a été effectuée par Me Dominique Watine-Arnault , à

la demande de Maître Paul Chardon. Un document que je n'ai pu

obtenir que le 9 Mars 2000 suite à une correspondance avec Maître

Dominique Wattine-Arnault en date du 1er Mars 2000 :



« Madame,

En réponse à votre courrier en date du 28 février 2000, je tiens à vous

préciser que l'inventaire des biens mobiliers dépendant de la

succession de votre père, le Président HOUPHOUËT-BOIGNY, a été

réalisé à la requête de l'étude de Maître Chardon, notaire à Paris, et de

ce fait l'état descriptif et estimatif des objets a été remis à cette étude.

Ce dossier est actuellement suivi par Maître Thierry LE-PLEUX, notaire

associé de l'étude Chardon, qui je pense pourra vous fournir de plus

amples renseignements ».


Valeur estimée de cette prisée à hauteur de 43.493.500 FF - Mais, à

préciser que certains éléments de cette collection privée non pas été

évalués mais portés à connaissance comme un tableau de VINCENT -

( VAN GOGH ).

Entre quelles mains se trouve cette collection privée ? Des éléments

( tableaux de Maîtres, Mobiliers ) disparus ? Monsieur Delsasso,

décorateur, pourrait lui aussi fournir une liste exhaustive des éléments

composants sa collection privée se trouvant à Masseran... Et à noter,

des Objets d'Arts, de fort belles factures, présents de Sa Majesté le

Roi Hassan II du Maroc ainsi que d' Autres Amis Connus et

Personnels... Présents provenant des Grandes Maisons de la Place

Vendôme.

La question est de savoir si les premiers Notaires de la succession

ont saisi l' administration ( ou les ) concernée(s), au vue de

l'enregistrement de cette Prisée, afin de prévenir toute « vente

illicite » ... Tous Tableaux de Maîtres et Mobiliers signés ayant une

traçabilité, donc répertoriés avec Noms des différents propriétaires

et acquéreurs à travers les temps – Dates et Maisons de

Ventes/expositions dans divers musées... concernées. A noter que

preuve de cette préservation aurait dû m'être transmis, par les Notaires

de la succession.

    Il est à préciser que tous les tableaux et le mobiliers vendus par

les Maisons Christies et Sotheby's ( New—York et Londres ), une vente

initiée du vivant de Monsieur Félix Houphouet Boigny en vue de la

construction de l'hôpital sis à Yamoussokro accompagnant la

Basilique, avaient déjà été choisis par ses soins – Provenance

résidence privée de Yamoussokro et de Masseran. ( Précisions

apportées suite à l'article de Monsieur François Soudan - Jeune

Afrique N°1939 du 10 au 16 Mars 1998 – Page 14 - « L'Héritage

d'Houphouët (suite) Une précision d'Hélène Houphouët Boigny » ).

Un Droit de réponse.




    Que sont devenus les appartements sis à Paris dans le 7ème.

arrondissement ? Une Liste établie par le Ministère de l'économie

des Finances et de l'industrie – Direction Générale des Impôts –

République Française - Notification de Redressements.

Qui m'a été adressée en Côte d' Ivoire ( adresse erroné et manuscrite ).

daté du 23 Octobre 2000.

Nom du signataire : M. Millot ( Inspecteur des Impôts ),


fait état des biens immobiliers appartenant à Monsieur félix Houphouet

Boigny, dont ci joint la liste de ceux sis dans le 7ème arrondissement à

Paris, :

- 5, 7 et 7 bis rue de la Chaise ;

- 13 Avenue Bosquet  ;

- 166A et 168A rue de Grenelle, 14A, 16 et 16bis rue de la comète et 15 ;

   passage Jean Nicot  ;

-  50 et 52 avenue Bosquet ( 3emme étage ) ;

-  50 et 52 avenue Bosquet Paris ( 4emme étage ) ;    

-  2 et 4 rue Saint Simon et 215 Boulevard Saint Germains .

    
    Qui a pris possession de ces biens ci dessus cités ?

    A savoir que l'État Ivoirien s'est saisi de l' appartement sis au 59 boulevard

des Invalides Paris 7ème arrondissement, autrefois occupé par Mme Faitai

Houphouet Boigny ( soeur aînée du Président Houphouet Boigny ), de

l'appartement occupé par sa cousine Mme Djeneba Cissé, sis rue duroc,  

Paris 7ème, ainsi que tous les biens immobiliers sis à Marnes la

Quoquette. Liste citée dans ce même document.
    
    Tous vendus ?


    Que sont devenus les biens immobiliers sis en Côte d' Ivoire,

france... auparavant gérés par l'agence
A.I.C.I. S.A. de Madame

Dominique Folloroux Ouattara ?


    Que sont devenus les sociétés/biens/avoirs bancaires sis aux

États-Unis, Grande-Bretagne, Maroc, Sénégal, France ... ?

    En ce qui concerne les avoirs bancaires en France, aucune information n'a

été portée à ma connaissance ! une autre rétention d'informations

( parmi tant d'autres ) de la part des notaires concernés.
Cependant, j'ai

pu obtenir du Crédit Lyonnais ( Paris ), les relevés de comptes transférés à

Maître Paul Chardon et Maître Pierre Zecri - décédé - ( administrateur de

biens nommé par le Tribunal de Paris – jusqu'à rendu du jugement de Côte

d' Ivoire ), qui ont soldé ces comptes ! Comment cet état de fait a t' il pu être

possible ?

    Maître Bouvet, selon information, aurait repris le Mandat de Maître Pierre

Zecri...

    Quels ont été les honoraires de tous ces différents notaires ?

honoraires qu'il se sont octroyés, mais sur quelle base ?

    Que sont devenus tous les administrateurs des biens de Monsieur

Félix Houphouet Boigny ?  Leurs Identités ? ...  Des prête-noms dont

parmi tant d'autres M. Abdoulaye Diallo... Charge aux notaires de la

succession de les communiquer à tous les héritiers.


    Est il  à comprendre que tous les Notaires... Administrateurs des Biens...

auraient fait fit de l' éthique dûe à leurs professions ?

    Qu'est il advenu d'une ''soit disante'' « copie non datée et non

signée d'un mandat » ( ! ) donné par le Président de la République à

Monsieur Georges OUEGNIN pour gérer son compte bancaire sis à à la

ROTSCHILD-BANK à Zurich. » !?! ... Élément apparaissant dans « les

inventaire » effectués par Me Gisèle Ouegnin – Commissaire priseur –

en date des 1er, 2, 3, 4, 9 et 15 Mars 1994 dans les résidences sises à

Abidjan-Cocody Ambassade, Abidjan-Cocody Riviéra Mafit et la

résidence privée de Yamoussokro – Documents signés par Me Gisèle

Ouegnin, accompagnés de son sceau.


    Il serait dit qu'un certains tableau de "Renoir" ( Portrait de femme ),

serait en possession de monsieur Georges Ouegnin. Provenance
:

Collection privée de Monsieur Houphouet Boigny ...


    A noter qu'aucune prisée n'a été effectuée, comme il se devait.

Ces différentes résidences contenant mobilier signé, tableaux de

Maîtres et objets d' Art de grande valeur. Collection privée de

Monsieur Félix Houphouet Boigny dont certaine des pièces ont

disparus ( Résidence de Yamoussokro et de Cocody... ). Scandaleux !

    
    

    Concernant les avoirs bancaires domiciliés à L' Union Des Banques

Suisses à Genève ( U.B.S )
, il m'aura fallu près de trois ans pour obtenir

gain de cause près du Tribunal Genevois ( reddition de tous les

comptes ... Édifiant ! Un Cas faisant figure de « Jurisprudence »
-

Pouvoir Judiciaire - Cour de Justice – Chambre Civil – Arrêt du 11 Décembre

1998 ).

    Une action nécessaire puisque le courrier qui m'avait été adressé, par

Maître Cheikna Sylla en date du 28/09/1994, ne faisait état que des avoirs ci

après cités ( U.B.S ).

EXTRAIT PAGE 4 DE CE COURRIER, AVEC SIGNATURE BAS DE PAGE :

« SOUS N° 509.619.L.Z.  

DEPOT TITRES                SFR. 15'068.

SOUS N° 542.378.A.X.

DEPOT TITRES               SFR. 60'275.

COMPTE GESTION         SFR. 1'983.67 C ( S.E.O. )

COMPTE GESTION         USD   513.05  C ( S.E.O. )
 

AU NOM DU DEFUNT :

UN COMPARTIMENT COFFRE-FORT N° 2674,

AUPRÈS DU SIÈGE DE L'U.B.S, RUE DE RHONE, 8

CONTRAT RESILIÉ LE 24.01.1994 PAR Mme DEMESSE ZINSOU NÉE

HOUPHOUET BOIGNY. » .

    
    
    Il est à noter que différents transferts ont été effectués à partir des

différents comptes domicilies près de l' U.B.S. ( reddition des comptes

m' étant dû - Arrêt du 11/12/1998 ). Pour exemple :

- cpt. N° 579.577.01 M

   date : 28.3.94      -      Montant FrS. : 24'000'000  

   Bénéficiaire  :             UBS N° 566.580.00 – Fondation Recordia, Vaduz.

    
    A nouveau, quels documents, à être authentifiés par les

différentes Institutions Bancaires, Gestionnaires de Fortune et

administrateurs de biens, quelques soient les lieux et les pays

concernés, ont été produits ? Forcement avec la signature de Monsieur

Félix Houphouet Boigny, à être authentifiée. Et au besoin, être certifiée

conforme par un Expert ou une Experte Graphologue agréée près des

différentes Instances des Tribunaux concernés. Il s'agit, cependant de

la succession  d'un Monsieur de quelques Biens...


    Est il pensable et acceptable que cette même Institution Bancaire

( U.B.S ) passe sous silence
mes comptes privés ( donc hors

succession ),
ouverts par Monsieur Félix Houphouet Boigny, à mon

endroit ? Des comptes non portés à ma connaissance, dès son décès,

mais découverts à travers mes investigations. Des avoirs transférés

( dès décembre 1994 ), vers différents pays.
Quel est le gestionnaire de

ces comptes qui a pu opérer ses transactions ( deux signatures étant

nécessaires : le gestionnaire et un autre responsable ) ? une autre action en

justice à mener, à nouveau, à l'encontre de la Première Banque Helvète

( U.B.S ) pour récupérer mes avoirs ?

Dommages et intérêts s'imposent à travers les temps passés depuis

l'origine de l' ouverture de ces dits comptes. Faux et usages de faux

concernant mes comptes privées ci dessus évoqués, et certainement

d'autres.


Une Expertise à été effectuée par Madame Françoise

de Ricci d'Arnoux – Graphologue-Conseil GGCF – Expert près la Cour

d'Appel de Paris - Expert près de la Cour Administrative d'Appel de

Paris – Expert agréé par la Cour de Cassation H. ;

concernant des signatures contestées par mes soins, apparaissant sur

des documents bancaires ( U.B.S ).

CONCLUSION DE CETTE EXPERTISE ( PAGE 12 ) :


« En réponse à la question qui nous a été posée, l'ensemble des

   observations et comparaisons consignées dans la présente note

   nous permet de déposer les conclusion suivantes, avec, *toutefois

   les réserves d'usages compte tenu de l'examen des signatures de    

   Questions en photocopie.

   [ ... ]

   3-       La mise en parallèle des trois signatures suspectes avec les

             signatures de Madame Hélène HOUPHOUET BOIGNY révèle un

             aspect général assez semblable mais de nombreuses

             divergences dans le geste, le mouvement, l'appuie et les

             détails.



             Il apparaît que la signature de Madame Hélène HOUPHOUET

             BOIGNY a été imitée de façon habile sur les documents

             bancaires et la lettre du 10 septembre 1999 soumis à nos

             examens.



             Pour être formelle, il conviendrait que nous puissions

             examiner les documents de Questions en original.



                         Fait et clos à Paris, le quatre avril deux mille cinq

                                                               

                                                                 Signature. bas de page
                                                                   
                                                                 F. de RICCI d'ARNOUX  »




     
    Qu'est il advenu du fameux compte « Everlasting » domicilié à l' United

Overseas Bank de Genève ? Question déjà soulevée dans

l'article de Monsieur François Soudan – Jeune Afrique N°1938 en date

du 3 au 9 Mars 1998 :



« Deux ordres de mouvements en notre possession, datés, l' un du 20 janvier

  1989 et l'autre du 17 février 1989, signé de la main d'houphouët, totalisent

  ainsi la coquette somme de 240 millions de FF. Destinataire : un très

  étrange compte Everlasting à l'United Overseas Bank de Genève
, sur

  lequel Hélène Houphouët réclame aujourd'hui toute la lumière. D'autres

  bénéficiaires sont moins mystérieux
: un très célèbre joaillier genevois,  

  sur le compte duquel sept versements ont été effectués pour un montant

  de 5 millions de francs suisses (20 millions de FF). Et l'un des plus

  proches conseillers d'Houphouët aujourd'hui homme d'affaires prospère à

  Abidjan, généreusement gratifié d'un solde de ... 4 millions de francs

  suisses (16 millions de FF)
sur une autre opération Everlasting. ''Où sont

  passées toutes ces sommes ?''  » .

    
    Des documents cités dans ce même article de Jeune Afrique qui ne

m'ont jamais été produits par mon avocat d' alors Maître Jacques

Vergès ( parmi certainement tant d'autres ), malgré ma saisine de

l' Ordre des Avocats puis avoir interjeté appel près de la Cour d' Appel

de Paris. Ayant toujours été déboutée...

    Entre quelles mains se trouvent les sociétés immobilières sises en

Suisse à savoir :


- S.I. Grand Air,

- S.I. Picalpoc ( qui possède la propriété sise à Cologny – « La Capite »  

  occupée par Mme Demesse Zinsou ).

- S.I. La Glaneuse ( parmi les biens immobiliers détenus par cette S.I. :

   la propriété sise à Collonges-sous-Salève – Une propriété rachetée,

  à mon nom
, par Monsieur Félix Houphouet Boigny à mes Parrains

  Monsieur et Madame Jacques Timey. Décédés ( 1980 - 1981 ).


- S.C.I Alima.

- Autres sociétés immobilières ? ... ( ou participations dans X

  sociétés financières - toujours inconnues ) ! ...
    

    Qu'en est il de la société Intercafco ( Café/Cacao ), sise à Genève et

ayant antenne ou terminal à New-york – USA ? - Société/comptes

bancaires/biens immobiliers ? ... Entre quelles mains ? - Quels

administrateurs ? ...

    En ce qui concerne la succession de Feus mes parrains Monsieur et

Madame Jacques Timey ( dont j'étais l'héritière à hauteur de la moitié de leurs

biens ) : la réponse de monsieur Serge Fradkoff ( courrier listé dans

documents cités, en date du 29 Mars 2007 ) - 2ème alinèas : 

"Succession de feu Monsieur Jacques TIMEY : il ne vous a pas échappé

qu'aucun lien juridique ne me liant à vous à ce propos, je me vois dans

l'obligation légale de refuser de vous fournir quelque indications que ce soit.

Je vous prie de recevoir, chère Hélène, mes meilleurs salutations.

                                                                         Courrier signé

                                                                         Serge Fradkoff "

A noter que ce courrier, curieusement, à été adressé à "Madame Thérèse

Houphouet Boigny", à "mon" adresse Parisienne, alors que ma

correspondance lui ayant été adressée, était faite sur "mon papier à

en-tête " ...
Autre action en justice à entreprendre à l'encontre du légataire

testamentaire de Monsieur Jacques Timey ? Documents judiciaires à

toujours pouvoir être produits. Délais de contestations, selon la Loi, de

30 ans.


    Qu'en est il du fonctionnement, de la composition des membres du

« board » et de la gestion du « Prix Félix Houphouet Boigny Pour La

Recherche De La Paix » décerné chaque année depuis sa création à

l' U.N.E.S.C.O. ( 1991 ) ?


    Tant d'interrogations et bien d'autres restées à ce jour sans

réponses, alors qu'il ne m'était pas donné de m'investir dans toutes ses

recherches. La charge des premiers Notaires dits de la succession de

Feu Monsieur Félix Houphouet Boigny et par la suite de Maître

Agueh Tahou Monique ( mandatée par le Tribunal de Première Instance

de Bouaké - Jugement Civil N°118 du 27/07/2000 ).


    Quels ont été les actes posés par Maître Agueh Tahou Monique

dans le règlement de cette succession ?

    Dans un courrier en date du 25 Septembre 2004, j' interrogeais Maître

Agueh Tahou Monique, quant au règlement de cette succession. Près de

quatre années s'étant écoulées depuis date de son mandat en vue de

liquidation et partage de la succession.

    Il ne s'agissait pas d'une « relance » ( courrier en date du

25 Septembre 2004 adressé à Me A. Tahou « Objet: succession de feu Mr

Félix Houphouet Boigny » ),

comme se plaisait à me signifier Maître Monique A. Tahou dans un de

ces courriers
, mais des interrogations de ma part faites face au non transmis

de l'avancement de ce dossier. Le délai de six mois déterminé par le Tribunal

de Toumodi avait été plus que largement dépassé depuis le 27/07/2000 et il

est à noter qu'aucune prise de contacte n'avait été effectuée par Maître A.

Tahou depuis la date de son mandat.

    J'ai adressé tous les documents ( produit des recherches de mes

avocats Suisses principalement, mes recherches personnels. Actions

menées depuis près de 12 ans... ) à Maître Monique A. Tahou.


Documents que j'ai par la suite demandés à mettre restituer. Tous mes

efforts, dans mes luttes, ne me semblant pas avoir été pris en

considération par le Notaire mandaté en vue de la liquidation de la

succession.


    A nouveau, un travail de recherches, qui ne n'incombait pas,

mais à être apprécié ( documents juridiques, correspondances

diverses dont notaires ... ) par Maître Monique A. Tahou, dans

l'accomplissement de son mandat. Ses recherches personnels ?

Ses approches près des premiers Notaires de cette succession pour

obtenir l'ensemble des pièces de leurs dossiers constitués ? ...

    
    Il semblerait que tous les différents acteurs  et parties prenantes...

de ce que l'on pourrait qualifier de « Grand Vol Organisé »,  ont agi en

toute impunité
et pour grand nombre d'entre eux à observer la « Loi du

silence », renvoyant à l'État Ivoirien pour toute information. Un État qui reste

curieusement muet malgré toutes mes interrogations à Son Endroit, à travers

les temps, à savoir dès 1994 jusqu'au dernier dossier adressé à Monsieur le

Premier Ministre Seydou Diarra afin qu'il le transmette à l'État Ivoirien. Ce que

je pense à été fait, mais hélas sans résultat.

    Une dernière interrogation et non des moindres : que penser des

« Attributs  de la Royauté Baoulé ( WAREBO ) » dont certaines pièces

ont été « volées » par des « rebelles » durant ces temps où la Côte

d' Ivoire était ( fait inacceptable ) divisée en deux parties ( Nord/Sud ) ?

    Il s'agit « d' Attributs sacrés » ayant leur fondement dans l'histoire

du Peuple Baoulé. A quand leurs restitutions ? Un Devoir et une

Obligation.

    La succession privée, devenu « d'État », Une affaire étouffée

depuis tant d'années, concernant un Grand Monsieur, Mon Père, qui a

oeuvré pour l' Indépendance et la construction de son Pays avec l'aide

de ses Compagnons de luttes et de Grandes Dames, dont certains et

certaines hélas disparus ( trop de noms à citer ). Mais que hommage, à

toujours leurs soit rendu, à travers les temps... Un grand merci aussi,

pour tout le Peuple Ivoirien qui l'a porté durant le temps de sa Charge.

    Monsieur le Ministre Jean Konan Banny, mon Oncle, Un

Grand Monsieur, Avocat et grand Orateur, ancien Ministre de la

Défense, ancien Ministre Résident du District Autonome de

Youmoussokro, membre du Conseil des sages du PDCI, Ancien

Compagnon de toutes les luttes et Ami de toujours d' Houphouet,

ayant pu pardonner « l' impardonnable », acte posé par son ami en

1963. Que mon Oncle bien aimé accepte, à nouveau, et garde pour

toujours mes excuses qui seront à travers moi, ces excuses publiques

qui se rajoutent à celles de mon Père, à partager avec toute sa

Famille, ma Famille... Selon la Tradition. Il pourra selon sa volonté, un

véritable souhait de ma part, relater toutes ces périodes vécues avec

passion ( près d'un demi siècle d' Histoire... ) avec ce regard propre à

lui qui est de ce « Détachement » et donc de « Vérité », dans la grande

Tradition Akan, pour les générations issues d'après l'indépendance,

d' aujourd'hui et de demain... A connaître et savoir.


    

    Il serait largement temps que la vérité soit connue et que Justice

soit faite, selon le Rendu d'un Jugement commençant ainsi :

« Nous Peuple de Côte d' Ivoire [...] »

    A considérer que ce n'est pas de gaité de coeur, mais de guerre

lasse, qu'après d'interminables et parfois décevantes démarches

auprès de plusieurs Avocats, Notaires et investigations personnelles,  

que je me trouve désormais contrainte à porter ce

« DENI DE JUSTICE » au grand jour.

UNE SPOLIATION DE TOUS MES DROITS.


    

SIGNATURE :

     Hélène Houphouet Boigny – Abla Pokou - ( Licenciée en Sciences

     Politiques de l' Université de New-York – N.Y.U. ), fille d' Houphouet,

     est la petite fille du Roi des Baoulés – Feu Kouakou Anougblé , par

     sa mère Madame Anougblé Akissi. Tous deux décédés en 1958.


     Une Royauté dont l'origine prend ses racines ancestrales ( la Loi du

     Matriarcat )
dans le Royaume Ashanti du Ghana dont est issu le peuple

     Baoulé,
par la Reine Abla Pokou arrivée en Côte d'Ivoire en 1730 et

     dont elle porte le Nom, qui lui a été donné avant sa naissance.
      
    
   
    Pour toute les personnes qui seraient concernées et partie

prenante, d'une manière ou d'une autre, par la succession du Président

Félix Houphouet Boigny, une mise en garde :

Qu'il ne soit fait aucun mal à mes enfants, dont j'ai la garde

( selon rendu du Tribunal de Première Instance d' Abidjan - Jugement

civil Contradictoire N° 451/CIV 1 - en date du 14 Juillet 1991 ) :

        - Xavier Anougblé

        - Maud Akissi

        - Magali N'dri Kan

    Ainsi qu'à ma personne – Et de quelques manières que ce soient...
    
-   une action en diffamation ? A véritablement bien réfléchir avant

    de l' intenter à mon encontre...


    
    A noter, que « LA LETTRE DU CONTINENT » - INDIGO

PUBLICATIONS


– 142 rue Montmartre, 75002 Paris ( www.AfricaIntellignce.fr ) ;

s'est penchée depuis plusieurs années sur cette succession

A lire, parmi d'autres parutions antérieures, ces quelques articles :


- POUVOIRS ET RESEAUX - COTE D'IVOIRE – N°442 en date du 4 Mars    

  2004.

  « Qui a hérité d'Houphouët-Boigny ? » ;

- DIPLOMATIE D'INFLUENCE – EN MISSION SPECIALE –

  COTE D'IVOIRE - N°447 en date du 20 Mai 2004.

  « T.P. Nguyen » ;

- POUVOIRS ET RESEAUX - COTE D'IVOIRE – N°455 en date du 30

  Septembre 2004.

  « Les comptes secrets d'Houphouët » ;

- POUVOIRS ET RESEAUX - COTE D'IVOIRE – N° 465 en date du 24

  Février 2005.

  « Qui a pris la fortune du ''Vieux'' ? » ;

- WHO'S WHO - FRANCE > COTE D'IVOIRE – N° 469 En date du 21 Avril

  2005.

  « Hélène Houphouët-boigny » ;

- COTE D'IVOIRE

   « Adieu le patrimoine immobillier du ''Vieux''. » - N° 482 En date du 17
    
   Novembre 2005.

    

    Et l'article parût dans J.A. / L'INTELLIGENT – N° 2075 – En date du 17 au

23 Octobre 2000 :

- COTE D'IVOIRE  – "Gueï veut sauver la résidence parisienne d'Houphouet "


«  [...] L'hôtel Masseran appartient aux héritiers d'Houphouët, mais l'État


Ivoirien a jusqu'à présent conservé un droit d'usage. » .


 

Ne rien changer à cet écrit ainsi qu'aux contenus des
 

 

 

documents/courriers/articles présentés. Par Respect dû à leurs

 

 

 

Auteurs.

 


FIN




___________________________________________________________________________________________________________________________________

En date du 24 Juillet 2007

IL A ÉTÉ DEMANDÉ CECI ( PAR  E-MAIL ), AU JOURNAL « LE PATRIOTE »

AFIN QUE L'INTEGRALITÉ DE MON TEXTE PRÉSENTÉ, SOIT.


Objet :

"  Je tiens à vous préciser qu'apparemment, suite à une erreur informatique lors de la mise en ligne de mon blog, les six dernières lignes du texte, concernant Jeune Afrique, étaient manquantes ( ci après rajoutées sur ce présent e mail et donc sur mon blog ). Des problèmes dus au "système INFORMATIQUE"...

NOTA BENE : PRÉCISER LES PARUTIONS / ARTICLES / DATES / RUBRIQUES, DE LA "LETTRE DU CONTINENT" QUI ÉTAIENT DÉJA CITÉS SUR MON BLOG ET DONT "LE PATRIOTE" FAIT CURIEUSEMENT ABSTRACTION.

ÉTANT DONNÉ QUE VOUS PRETENDEZ REPRODUIRE L'INTEGRALITÉ DE "MON BLOG". PRIÈRE BIEN VOULOIR PROCEDER À CES
RECTIFICATIONS POUR VOS LECTEURS, LA SUITE DE MON TEXTE : 

[...]

LE MOT « FIN » TERMINE MES PROPOS.

VOUS REFERER À MON BLOG.

http://succession-mr-f.houphouet-boigny.over-blog.net/ "


- UNE PRECISION À APPORTER ET QUI EST D'IMPORTANCE POUR QUE

CELA SOIT SU :

MADAME ANOUGBLE AKISSI, MA MÈRE, EST LA FILLE DE FEU LE ROI

DES BAOULÉS, KOUAKOU ANOUGBLE ( TOUS DEUX COMME

INDIQUÉS CI DESSUS, DÉCÉDÉ EN 1958 )

- LE JUGEMENT NUMERO 1261 SUPLETIF D'ACTE DE NAISSANCE

CONCERNANT HÉLÈNE HOUPHOUET BOIGNY, EST L'ACTE POSÉ PAR

HOUPHOUET - MON PÈRE - EN PERSONNE - ALORS MINISTRE D' ÉTAT,

EN VUE DE RECONNAITRE LÉGALEMENT SON ENFANT ( ACTE DU 26

AOUT 1960 ), AVEC LES TÉMOINS DÉJAS PRÉCISÉS DANS LES

DOCUMENTS PRECITÉS.
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